V
EVOLUTION DU CLIMAT
A COURT TERME
ET LONG TERME
|
8ème PARTIE
L'EVOLUTION
DU CLIMAT DANS LES 100 PROCHAINES ANNEES D'APRES :
-
LES
PREVISIONS DU GIEC (Groupe d'experts Intergouvernemental
sur l'Evolution du Climat)
Beaucoup de climatologues dont le GIEC (IPCC
en anglais soit Intergovernmental Panel on Climate Change)
pensent que lors de ces 50 à 100 prochaines années
le climat va continuer à se réchauffer dans
la majorité de la surface la Terre comme il le
fait depuis environ une centaine d'année.
D'après divers modèles informatiques du
GIEC cette évolution du climat devrait continuer
et même augmenter entre 2°C et 6°C à
cause de l'effet de serre anthropique (le
dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4) et loxyde
nitreux (N2O)) qui augmente dans l'atmosphère causé
par l'activité de l'homme (usines, élevages,
transports...), voir plus
d'infos ici
Cette animation nous montre l'évolution
de la moyenne de la température (par rapport
à la moyenne de 1971-1990) de 1990 à
2100, simulée par le MCCG2.
Les changements de la température
de l'air à la surface seront plus importants
aux pôles qu'à l'équateur et
plus sur les continents qu'à la surface des
océans.
Notez que l'évolution s'accélère
avec le temps .
|
|
- MES
ANALYSES
- MES
PREVISIONS SUIVANT SE QUI INFLUENCE LE CLIMAT
Pour avoir une idée
du futur du climat sur des décennies
il faut tenir compte de tout se qui influencent
le climat donc en plus de l'effet de l'homme
il faut tenir compte des oscillations climatiques
à grande échelle, des variations
de l'activité solaire à long
terme...
-
-
les phénomènes climatiques
à long terme causés par les océans
qui sont régulateur du climat (PDO,
AMO) et voir les phénomènes
climatiques à court terme (ENSO,
NAO, AO,
AAO...) ;
-
-
-
les effets secondaires causés
par les phénomènes de ci-dessus comme
l'évolution des banquises, l'évolution
de la nappe nuageuse...
Ce schéma montre que la température
évolue suivant l'effet de la nature
et d'une part de l'homme. Et donc que le réchauffement climatique a bien ralenti depuis
au moins 18 ans pour les raisons de ci-dessous. Cliquez
ici pour agrandir le schéma
1°)
- L'EFFET
DE L'HOMME
:
Comme on le
dit l'homme
a pour effet
de réchauffer
le climat
entre
les émissions
de gaz (CO2,
CH4...) qui
augmentent
l'effet de
serre anthropique,
puis la déforestation
ce qui change
l'albédo
puis cela
fait modifier
l'évaporation
et surtout
cela fait
diminuer l'absorption
du CO2. Puis
les constructions
des bâtiments,
usines, routes...
modifient
l'albédo,
ils émettent
plus d'énergie
urbaine, cela
fait que le
sol absorbe
moins d'eau
de pluie ce
qui modifie
le cycle atmosphérique
de leau
etc. Et avec
la déforestation,...
c'est une
des causes
principales
des
inondations
;
2°) - L'EFFET ET L'EVOLUTION DE
LA PDO :
L'indice du PDO
baisse c'est à dire que la température
de la surface du Pacifique de l'Est baisse.
Puis cette oscillation climatique à
long terme a son indice qui est devenue bien
négatif vers 1999 ce qui influence
l'oscillation à court terme ENSO
(El Nino ou La Nina) et donc maintenant
il y a plus souvent des La Nina que des
El Nino. Puis La Nina est maintenant plus
importante que lors des années
80-90 comme en 1999/2000, 2007/08 et 2010/2011.
Dont ces La Nina sont importantes, se
qui n'avait pas été vu depuis
30 ans. Et comme la température
de la surface de l'Est de l'océan
Pacifique baisse ça devrait augmenter
la capacité de ces eaux à
absorber le CO2. Par exemple l'Easterbrook
reconnait que la PDO baisse et que son
effet sur le climat est ainsi
etc... ;
3°) - L'EFFET ET
EVOLUTION DE L'AMO :
L'AMO s'est
stabilisée depuis environ 2005 et
son indice devrait baisser doucement se
qui devrait faire que dans environs 15-20
ans l'Atlantique Nord n'aura plus une anomalie
de la température de la surface de
l'eau aussi élevée que maintenant.
Donc cette anomalie de la température
de la surface de l'Atlantique Nord plus
basse devrait rafraîchir les continents
(Eurasie voir le Nord de l'Amérique)
donc la majorité des continents situés
majoritairement le plus dans l'hémisphère
Nord. Ceci devrait aussi ralentir la fonte
de la banquise de l'Arctique voir une stabilisation.
Car la fonte de la banquise Arctique est
surtout à cause de l'AMO positive
que nous avons de 1996 jusqu'à maintenant
(1998 et 2010 maximum de l'indice de l'AMO).
C'est aussi une des raisons pour laquelle
que la surface de la banquise de l'Antarctique
est de plus en plus importante depuis 1996
avec un record en 2013 suivis de 2012 puis
de 2006 et les 10 années avec la
surface de la banquise de l'Antarctique
la plus importante depuis 1996 depuis les
les enregistrements par satellites (depuis
la période 1979) comme la température
de la surface de l'océan Atlantique
du Sud s'est refroidie pendant que celle
de l'Atlantique Nord s'est réchauffée
(voir ici pour les records
de la surface de la banquise Antarctique)
;
4°) - L'EFFET ET EVOLUTION DE L'ACTIVITE
SOLAIRE :
Puis
l'activite solaire diminue à
long terme. Car en moyenne tous les 11 ans
le Soleil a une activité importante.
Mais celle-ci diminue de cycle en cycle
depuis le maximum de 1956 et surtout depuis
le maximum du cycle solaire N°23 en
1990. Le minimum du cycle solaire de 11
ans N°23/N°24 en 2008 a été
l'un des plus faible depuis au moins 100
ans et le maximum du cycle solaire N°24
que nous venons d'avoir en 2013 est plus
faible que les cycles solaires précédents
par ce que la phase ascendante de l'activité
solaire est non seulement plus lente que
les précédents cycles solaires
mais aussi à cause de plusieurs indices
indiqués ci-dessous
:
-
En 2009 le maximum
du rayonnement cosmique a justement
atteint une valeur qu'on a jamais atteint
depuis 1934 soit depuis 74 ans avec
une augmentation de 19%. Ceci à
cause du vent solaire et du champ magnétique
solaire qui a été très
faible ;
-
La NASA a dit :
" La sonde Ulysse met fin à
sa carrière en révélant
que le champ magnétique émanant
des pôles du Soleil est beaucoup
plus faible que précédemment.
Cela pourrait signifier que la prochaine
période maximale solaire sera
moins intense que dans l'histoire récente.
" L'intensité du champ
magnétique aurait baissé
de 36%. Source : NASA
voire aussi NASA
;
-
La NASA a dit que
le minimum du cycle N°23/24 est
au plus bas en juillet voir août
2008. Source : NASA
Donc le cycle N°23 a durée
143 mois soit 11,92 ans. Ce qui fait
que le cycle N°23 est le plus long
cycle solaire depuis le cycle N°9
(cycle de 1843 à 1855) ;
-
Le Soleil a eu une
durée sans tache solaire très
longue (du 21/07/08 au 12/09/08 même
si une mini-tache solaire a été
visible que dans certaine longueur d'onde
mais pas dans le visible le 21/08/08)
soit 52 jours sans tache solaire visible
ce qui n'a pas été vu
depuis les 3 records de 1901, 1913 et
de 1879 lors de ces 159 dernières
années. Source : ici.
En plus un an après il y a eu
aussi une longue période sans
tache solaire de 75 jours du 11/07/09
au 22/09/09 avec juste une mini-tache
d'une durée de même pas
6h le 01/09/09 tout juste perceptible
dans certaines longueurs d'ondes avec
le satellite Soho et donc qui n'aurait
pas été visible avec la
technologie qu'il y avait il y a 100
ans ;
-
Puis 2008 est parmi
les années avec le moins de taches
solaires donc avec un Soleil le moins
actif depuis plusieurs années.
266 jours sans tache solaire en 2008
soit un record depuis 1913. Source :
NASA
Et 2009 est aussi parmi les années
avec le moins de jours avec des taches
solaires ;
Classement des 10 années avec le plus de jours
sans tache solaire
donc avec le minimum de l'activité solaire la
plus faible.
Comme on voit 2008 et 2009 en font parties.
-
De nouvelles données
ont révélées que
l'héliosphère, le bouclier
protecteur de l'énergie qui entoure
notre Système Solaire, a affaibli
de 25% au cours de la dernière
décennie et se trouve au niveau
le plus bas depuis la course à
l'espace il y a 50 ans. Source : ici
-
Le précédent
record du minimum du flux radio solaire
(10,70cm) qui datait de 1954, lorsque
le flux solaire a touché le plus
bas de 64,30 W/Hz/m². Voilà
que le 30/10/2008 le flux solaire a
dépassé ce record avec
une valeur de 63,9 W/Hz/m² ! Source
: Meteogiornale
etc...
-
Puis la latitude
des premières taches solaires
du cycle N°24 correspondent à
ceux des cycles qui ont eu une activité
solaire moins importante soit avec un
maximum compris entre 80 et 90 Wolfs.
La NASA
pensait en 2006 que le Maximum
aurait lieu vers 2010-2011
mais personnellement je
pensais en 2006 que se serait
plutôt vers fin 2012
puisque ce cycle N°24
devait être d'après
moi plus faible que le cycle
N°23 donc voire un peu
plus long que le cycle N°23.
Ce que la NASA c'est mise
à prévoir
qu'en fin 2009 même si c'est plutôt en 2014 que cela a eu lieu. Les
chercheurs Judith Lean (LNR)
et David Rind (NASA / GISS)
disent que de 2002 à
2008, la diminution de l'irradiation
solaire a beaucoup opposé
le réchauffement
anthropique de la surface
terrestre. Source : Spaceweather.
La
baisse
du
vent
solaire
dû
à
la
baisse
de
l'activite
solaire
a
des
effets
sur
la
quantité
de
rayons
cosmiques
entrant
dans
l'atmosphère
comme
on
peut
le
voir
avec
les
records
d'enregistrement.
Et
ceci
a
des
effets
sur
l'atmosphère.
Puis
la
variation
de
l'ultraviolet
contribue
pour
30%
à
la
variation
de
la
constante
solaire
et
a
des
effets
sur
la
couche
d'ozone
stratosphérique...
Donc
il
ne
faut
pas
se
baser
que
sur
le
flux
solaire
qui
diminue
de
0,10
%
(sur
les
1368
W/m2
de
la
constante
solaire)
d'un
maximum
au
minimum
de
l'activité
solaire
des
cycles
de
11
ans.
Car
cette
variation
de
0,10%
sur
laquelle
le
GIEC
se
base
ne
concerne
que
le
cycle
de
11
ans.
Donc
il
faut
voir
aussi
la
variation
entre
le
maximum
d'un
cycle
solaire
par
rapport
à
un
autre
ou
d'un
maximum
d'un
cycle
solaire
par
rapport
à
un
minimum
d'un
autre
cycle
solaire
ce
qui
fait
que
cette
variation
est
de
plus
en
plus
importante
si
on
la
compare
entre
le
maximum
du
cycle
solaire
N°19
en
1957
(le
cycle
solaire
avec
l'activité
la
plus
élevée)
et
le
minimum
du
cycle
N°24
en
2008/2009
qui
est
le
plus
bas
depuis
plus
de
80
ans.
Puis
la
diminution
de
l'UV
devrait
augmenter
ou
équilibrer
la
production
de
phytoplancton
qui
ont
tous
deux
des
effets
sur
le
CO2.
-
DES
PREUVES QUE LE GIEC (IPCC)
SE TROMPE ET C'EST TROMPE
DANS CERTAIN SECTEURS :
1°)
- ERREUR DU GIEC SUR LEUR
PREVISION DE L'EVOLUTION
DU ENSO :
le GIEC (IPPC en anglais)
avait dit en 2001 comme
on le voit à la
page 15/37 au site du
bilan de 2001 : "De
nombreux modèles
prévoient une augmentation
des réponses moyennes
de type El Niño
dans le Pacifique tropical".
Donc El Niño aurait
dû être de
plus en plus présent
comparé à
La Niña et surtout
plus important. Et pourtant
c'est tout l'inverse qui
se passe depuis 1999 à
cause du PDO en phase
descendante ce qui était
pourtant prévisible
vu son cycle si ces scientifiques
avaient biens étudié
ces oscillations.
2°) - ERREUR DU
GIEC SUR LES PREVISION
DE LA FONTE DES GLACIERS
DE L'HIMALYA :
Puis en 2007, dans
son 4ème rapport,
le GIEC avait estimé
que les glaciers de l'Himalaya
reculaient plus vite que
les autres du monde et
pourraient disparaître
d'ici 2035, voire avant.
Eh bien voilà qu'en
2010 ils reconnaissent
leur erreur et donc ces
glaciers ne devraient
pas fondre d'ici 2350.
3°) - ERREUR DU
GIEC SUR LA SURFACE DU
PAYS-BAS QUI EST SOUS
LA MER :
En février
2010 le GIEC a admis une
nouvelle fois s'être
trompé en écrivant
que 55% du territoire
des Pays-Bas au lieu des
26% qui sont sous le niveau
de la mer.
4°) - ERREUR DU
GIEC SUR LA SURFACE DU
BANGLADESH QUI EST SOUS
LA MER :
En avril 2010 une
nouvelle étude
au Bangladesh de scientifiques
a affirmé que se
que le GIEC a affirmé
dans le rapport de 2001
qu'une hausse de la mer
de 1 mètre inonderait
15% du Bangladesh était
exagérée
comme pour le Pays-Bas.
5°)
- LE GIEC NE TIENT PAS COMPTE
DE TOUT LES CYCLES DE L'ACTIVITE
SOLAIRE :
Pour l'effet du Soleil
sur le climat le GIEC
ne tient compte que de
l'évolution infrarouge
et pas de l'UV et que
de la variation de la
constante solaire du minimum
au maximum du cycle de
11 ans. C'est pour ceci
que le GIEC dit que l'effet
du Soleil sur le climat
est si faible comme on
le voit sur leur schéma
avec la valeur de la diminution
ou augmentation du flux
solaire de 0,10 %. Donc
le GIEC ne reconnaît
pas que les mini-glaciations
lors de l'âge de
glace ont été
causée par l'activité
solaire à cause
du
cycle solaire de Suess
ou Vries (180 ans).
6°)
- ERREUR SUR LA PREVISION
DE L'EVOLUTION DE LA TEMPERATURE
:
Ce schéma montre l'évolution des
anomalies annuelles de la température mesurée
jusqu'en 2014 et
prévue par le GIEC de 1990 à 2100 en haut
puis de 1990 jusqu'en 2020 pour mieux comparer ces données.
La source des données enregistrés
vient du NOAA
et les prévisions du GIEC sont celle du modèle
A1FI.
L'augmentation des
températures devrait
être de plus en
plus rapide comme ce fût
le cas de 1976 à
1998 suivant ce que le
rapport du GIEC créé
depuis 1988 nous avait
prévu. Mais voila
que depuis 1998 donc depuis
17 ans il n'y a plus de
réchauffement de
plus en plus rapide car cela a bien ralenti surtout
dès 2001 soit depuis
14 à 15 ans.
L'anomalie
des températures
aurait dû dépasser
0,70°C dès 2004
et la plupart des années
suivantes et voir 0,77°C
dès 2012. Mais voilà
que ce n'est qu'à partir de 2010 que l'anomalie
de 0,7°C a été atteint. Les années
de cette dernière
décennie ont en moyenne
une anomalie autour de 0,60°C.
Donc en moyenne l'anomalie
des températures
est inférieure de
0,15 à 0,20°C
par rapport aux prévisions
du GIEC, pour l'instant.
7°)
- LES RECORDS
DES TEMPERATURES
ANNUELLES
ONT LIEU
DE PLUS
EN PLUS
TARD COMPARES
AUX PRECEDENTS
RECORDS
:
Puis
si
on
regarde
bien
les
anomalies
depuis
le
début
du
réchauffement
on
voit
aussi
que
c'est
la
première
fois
que
l'on
a
les
records
annuels
des
anomalies
des
températures
du
globe
qui
mettent
tant
de
temps
pour
dépasser
le
record
précédent
de
l'anomalie
sur
une
période
aussi
longue.
Voici
la
preuve
:
ANOMALIES DES TEMPERATURES
DU GLOBE MESUREES PAR NOAA
(mis à jours le 07/02/2016)
ANNEES
|
ANOMALIE
|
COMMENTAIRE
|
|
1976
|
-0,08°C
|
.
|
R
E
C
H
A
U
F
F
E
M
E
N
T
|
1977
|
0,19°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1978
|
0,11°C
|
.
|
1979
|
0,22°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1980
|
0,26°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1981
|
0,30°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1982
|
0,18°C
|
.
|
1983
|
0,34°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1984
|
0,15°C
|
.
|
1985
|
0,14°C
|
.
|
1986
|
0,22°C
|
.
|
1987
|
0,37°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1988
|
0,34°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1989
|
0,29°C
|
.
|
1990
|
0,43°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1991
|
0,40°C
|
.
|
1992
|
0,25°C
|
.
|
1993
|
0,28°C
|
.
|
1994
|
0,34°C
|
.
|
1995
|
0,45°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1996
|
0,32°C
|
.
|
1997
|
0,51°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
1998
|
0,63°C
|
l'année
et les
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
R
A
L
E
N
T
I
S
S
E
M
E
N
T
|
1999
|
0,43°C
|
.
|
2000
|
0,42°C
|
.
|
2001
|
0,54°C
|
.
|
2002
|
0,60°C
|
.
|
2003
|
0,61°C
|
.
|
2004
|
0,57°C
|
.
|
2005
|
0,66°C
|
l'année
et quelques
années
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
2006
|
0,60°C
|
.
|
2007
|
0,61°C
|
.
|
2008
|
0,54°C
|
.
|
2009
|
0,63°C
|
.
|
2010
|
0,70°C
|
l'année
et quelques
années
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
2011
|
0,57°C
|
.
|
2012
|
0,62°C
|
.
|
2013
|
0,66°C
|
.
|
2014
|
0,74°C
|
l'année
et quelques
années
suivantes
sont supérieures
aux précédentes
|
2015 |
0,89°C |
l'année
et quelques
années
suivantes
sont supérieures
aux précédentes |
Voici
les valeurs
des anomalies
de la
température
globale
depuis
1976 à
nos jours
(source
NOAA
) montrant
les années
qui ont
été
un records
par rapport
aux années
précédentes...
Comme
on le
voit après 1998 les années
les plus
chaudes
sur Terre au moment même
furent 2005 soit
7
ans après 1998 puis après ce fut 2010 soit 5 ans
après pour dépasser
la précédente
année...
alors
que lors
du réchauffement
(1976
à
1998)
cela ne
mettait
pas autant
de temps
(en moyenne
2 ans).
8°)
- LA SURFACE
DE LA BANQUISE
ANTARCTIQUE
GRANDIE
On
nous parle
souvent
de la fonte
de l'Arctique
mais rarement
de la banquise
de l'Antarctique
qui s'étale
de plus
en plus
et ne fond
pas d'année
en année
contrairement
à
l'Arctique
et à
ce que le
GIEC nous
dit comme
vous pouvez
l'entendre
même
de Mrs
Jouzel dans
cette vidéo.
Car depuis
que l'indice
du PDO baisse
nous avons
la banquise
de l'Antarctique
de plus
en plus
importante
avec des
records
ces dernières
années
: 2014 est
l'année
avec l'extension
la plus
importante,
puis depuis
1979 les
8 années
avec la
surface
de la banquise
la plus
importante
sont justement
entre 1997
et 2014.
Donc on
retrouve
la période
de la stabilité
des températures
de 1999
à
maintenant
qui est
la même
période
de l'augmentation
de la banquise
de l'Antarctique
et la baisse
du PDO...
SURFACE
DU MAXIMUM DE LA BANQUISE DE L'ANTARCTIQUE (SEPTEMBRE)
ET CLASSEMENT DES 8 ANNEES AVEC L'EXTENT (SURFACE DE LA
BANQUISE)
LA PLUS IMPORTANTE DEPUIS 1979 (début
des relevées de la surface de la banquise de l'Antarctique)
ANNEES
|
SURFACE EN
MILLION DE M2
(EXTENT)
|
CLASSEMENT
DES ANNEES SUIVANT LA SURFACE DE LA BANQUISE
|
1997
|
19,15
|
8ème en surface
|
1998
|
19,14
|
-
|
1999
|
19,02
|
-
|
2000
|
19,12
|
-
|
2001
|
18,40
|
-
|
2002
|
18,18
|
-
|
2003
|
18,56
|
-
|
2004
|
19,10
|
-
|
2005
|
19,14
|
-
|
2006
|
19,36
|
4ème en surface
|
2007
|
19,25
|
5ème en surface
|
2008
|
18,50
|
-
|
2009
|
19,20
|
7ème en surface
|
2010
|
19,22
|
6ème en surface
|
2011
|
18,95
|
-
|
2012
|
19,43
|
3ème en surface
|
2013
|
19,82
|
2ème en surface
|
2014
|
20,03
|
1er en surface
|
2015 |
18.69 |
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ici pour voir de 1979 à 2010 l'évolution du
maximum
de la surface de la banquise de l'Antarctique en animation
Source : NSIDC
(National Snow and Ice Data Center)
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