LES INTEMPERIES
de
-5
1 AVANT J. C. à 999 ans

1ère PARTIE

 

ANNEES

ANOMALIE

INTEMPERIE

-52 / -51
Un hiver doux en Gaule
65 / 66
Un hiver avec un froid excessif dans le département de l'Oise
279 / 280
Une inondation ravagea la ville (Lyon)
291 / 292
Un hiver rigoureux dans le nord de la France. Les grandes rivières sont prises
298 / 299
Un Hiver froid. Il fut très rude dans le nord des Gaules
305 / 306
En Normandie les fleuves ont gelés ; les Allemands qui se précipitèrent sur le Nord de la Gaule et furent défaits près de Châlons, où 4 000 de leurs blessés gelèrent sur le terrain
345 / 346
En mars il y a eu une longue période de pluies (20 jour successif) et d'inondations.
354 / 355
La rigueur de l'hiver fait mourir de froid un grand nombre de personnes (région du Nord)
356 / 357
En décembre et janvier la Meuse était gelée (région du Nord)
357 / 358

Cet hiver a été l'un des plus rigoureux la Seine a gelé "dans toute son étendue", elle a charriait pour ainsi dire des plaques de marbre qui semblaient prêtes à joindre les deux rives.

358 / 359
L 'hiver a été rigoureux. La Seine fut prise
359 / 360
L'hiver fut beaucoup plus rude que de coutume (Région du Nord)
365 / 366
En janvier l'hiver fut excessivement rigoureux
398 / 397
C'est le 8/11/397 que St-Martin s'éteignit. "Une âpre discussion s'engagea. La nuit du 9 au 10/11/397 vint mettre un terme momentané au débat. Les gens de Tours qui étaient restés fort éveillés, discrètement firent passer le corps du Bienheureux par la fenêtre de la cellule... quand l'aube apparut, l'esquif était déjà loin. Tout le temps du voyage, qui dura deux jours, les 10 et 11, un soleil radieux, peu habituel en cette saison, favorisa les pèlerins, si chaud que les roses fleurirent. Telle fut, prétendent certains, l'origine de l'été de la Saint Martin qui, chaque année, en souvenir du miracle, se renouvelle du 8 au 11/11/397
399 / 400
Un Hiver très rigoureux en Provence. Le Rhône fut pris dans toute sa largeur (ce dernier phénomène est l'indice d'une température de -18°C )
400 / 401
Un Hiver très rigoureux en Provence
410 / 411
Du 30/10/410 au 12/02/411 il y a eu des grandes gelées
461 / 462
Un hiver rigoureux en Provence. Le Var a gelé.
467 / 468
Un hiver doux et un été frais. "Extrême rigueur de cette année fut due uniquement au renversement absolu de quatre saisons et de leurs produits (Hiver du Midi)".
453 / 454
L'hiver fut si rigoureux par l'abondance de la glace et de la neige que les oiseaux et autres bêtes sauvages se laissaient prendre à la main
544 / 545
Le froid a été si intense que l'on pouvait prendre les oiseaux à la main
546 / 547
L'hiver fut très rude dans les Gaules. On put traverser à pied tous les fleuves de France.
553 / 554
A cette époque, il y eut en Gaule un hiver particulièrement rigoureux à tel point que les rivières congelées offraient aux habitants la possibilité de la traversée.
554 / 555
Dans la chronique de Mortemer on Lit, que le froid fut si rigoureux en Normandie que les fauves incapables de réagir, se laissaient prendre à la main
555 / 556
En Normandie la neige couvrit la terre pendant « cinq mois »
558 / 559
Un hiver froid (Midi)
566 / 567
Un hiver fut très rigoureux dans les Gaules par l'abondance de la glace et de la neige que les oiseaux et autres bêtes se laissèrent prendre à la main. La terre resta couverte de neige pendant plus de cinq mois. Un grand nombre d'oiseaux périrent
570 / 571
Les pluies tombent avec violence, grandes inondations dans le centre de la Gaule et particulièrement dans les pays arrosés par l'Allier et ses affluents.
571 /572
Les pluies tombent avec violence, les rivières sont gonflées et les chemins défoncés. (Loire)
575 / 576
Crue de la Loire, empêche Roccolène, Gouverneur du Maine, de s'emparer de Tours
579 / 580
Au commencement d'octobre, après deux jours de pluies continuelles, le Rhône et la Saône entrèrent en crue. Chose qui ne s'était jamais produite, les deux rivières vinrent se rejoindre au milieu de la presqu'île et formèrent un courant si violent qu'une partie des murs de la ville fut renversée, d'où l'on peut juger du nombre de maisons qui durent être entraînées par les eaux. Les pluies provoquèrent également en même temps des débordements de l' Allier et de la Loire et de tous leurs affluents qui dévastèrent les plaines de la Limagne et du Forez. fi en résulta des pertes de bétail, la dévastation des cultures et la ruine de beaucoup de maisons. La pluie était tombée par torrents pendant douze jours de suite en Auvergne et pendant vingt jours à Lyon
581 / 582
La 7ème année de Childebert, au mois de janvier, les pluies, les éclairs et le tonnerre furent très forts ; comme l'hiver fut doux on vit des fleurs aux arbres.
582 / 583

Première crue mentionnée touchant la capitale et les communes au bord du fleuve

"La 8ème année du roi Childebert, au mois de février, les eaux de la Seine, de l'Yonne et de la Marne grossirent au delà de la coutume et beaucoup de personnes périrent ; entre la cité et la basilique de St-Laurent, la Seine Couvre toute la rive droite, après la débâcle des glaces"

583 / 584
Hiver très doux, d'une douceur si constante que l'on vit des roses au mois de janvier
584 / 585
Des inondations de la Loire ont causés une famine
585 / 586
En septembre les arbres refleurissent et beaucoup d'entre eux qui avaient déjà porté des fruits en portent d'autres jusqu'aux fêtes de Noël
586 / 587
En octobre une seconde fructification des vignes survient
587 / 588
Hiver chaud. Les arbres fleurirent en automne et donnèrent des fruits. Des roses parurent en décembre
588 / 589
En novembre des roses reparurent
592 / 593
Hiver très rude en Provence. il fit un hiver tellement rude que personne ne se souvenait d'en avoir éprouvé un pareil
601 / 602
Le froid était excessif au point de geler la mer et de tuer un grand nombre de poissons ; or la mer de nos climats ne se gèle que dans les plus grands degrés de froid qui y arrivent ; par conséquent, cette gelée peut être comptée entre les plus fortes, cet hiver fut suivi d'une famine
602 / 603
Le froid insolite tua une grande partie de la vigne
603 / 604
En hiver il y eut un froid extraordinaire, suivi d'une disette considérable
604 / 605
Hiver très rude (Oise). il a fait périr une grande partie des vignes de France
606 / 607
Hiver très rigoureux, Oise
607 / 608
Hiver rude, les vignes sont détruites dans une grande partie de la France
662 / 663
Hiver très rigoureux (Oise)
664 / 665
L’abbé Decorde, dans son Magasin normand, assure qu’en 695 la Tamise fut gelée si profondément qu’on construisit des cabanes sur la glace et qu’on y put habiter pendant six semaines.
763/764
La Gaulle s'est trouvée sou 10 mètres de neige
669 / 670
L 'hiver fut très rigoureux dans les Gaules par l'abondance de la glace et de la neige que les oiseaux et autres bêtes se laissèrent prendre à la main
716 / 717
Hiver très rigoureux
731 / 732
En octobre les chutes de pluie avaient été telles qu'une crue des plus extraordinaires fit sortir la Loire de son lit et que des courants d'une rapidité effroyable emportèrent des villages entiers
761 / 762
Dans les Annales de Saint-Wandrille il est écrit que lors du grand hiver de 762 en Normandie la gelée a commencé en octobre et se fit sentir jusqu’en février et même que chacun croyait à la fin du monde.
763 / 764

Du 1/10/763 jusqu'au 28/02/764 dans les Gaules la gelée fut intense le froid sévit fortement dans les Gaules. La mer fut gelée sur nos côtes. En certains lieu de la France, il serait tombé jusqu'à 10 mètres de neige. Les oliviers et les figuiers moururent ; les semences gelèrent dans le sol et dans cette dernière année une famine horrible se déchaîna sur cette vaste région et fit périr une multitude d'hommes. Le confesseur d'Amiens mentionne un froid si intense et dit que la Seine à Paris et la Somme à Amiens ont été gelées jusqu'au fond

764 / 765
Cet hiver aurait commencé tôt en Belgique comme ce fut en octobre et il a été si rigoureux que la mer gela sur nos côtes.

767 / 768
Hiver très rigoureux
779 / 780
Charlemagne ordonna d'édifier des levées sur les bords de la Loire depuis Roanne pour essayer de vaincre le fléau des inondations causées par le fleuve
790 / 791
Hiver froid en Provence. Les vignes souffrirent beaucoup dans ce pays et les troupeaux périrent dans les étables. L'hiver fut si rigoureux dans les Gaules par l'abondance de la glace et de la neige que oiseaux et autres bêtes se laissèrent prendre à la main
800 / 801
L'hiver fut tellement doux qu'une peste s'ensuivit
801 / 802
Hiver très rigoureux (Oise)
802 / 803
Hiver froid. Les gelées commencèrent le 11/11/802 et dura jusqu'au 12/03/803
807 / 808
Cette année, l'hiver fut très "mou" et très pernicieux. On fut affligé à sa suite d'inondations terribles
809 / 810
Le 28/12/809 il y eu une inondation qui surpassa toutes les inondations connues (Loire et Bourgogne). Elle emporta les moissons des champs riverains et força les habitants des bords de rivières à chercher un refuge sur les hauteurs. L'abondance des pluies en fut la cause.
810 / 811
L 'hiver paru t très rude et se prolongea jusqu'à la fin mars
814 / 815
Inondation du Rhin
816 / 817
La Seine déborde à Tournan
819 / 820
la Seine déborda ; il y a eu des inondations funestes (Viravais). Des pluies continuelles gâtèrent les fruits de la terre et ne leur permirent pas de venir à maturation ; les grains pourrirent dans les champs, les semailles ne purent se faire : famine et peste
820 / 821
Le Danube, le Rhin, l'Elbe, la Seine, le Rhône et l'Escaut, gelèrent assez solidement pour porter des chariots chargés. Il est dit que la Seine « fut enchaînée par une glace d’une extrême solidité, pendant trente jours et plus, des chariots pesamment chargés la franchirent aussi sûrement qu’ils auraient pu faire sur des ponts. »
821/ 822

Il y eut en France une si grande abondance de pluie que les fruits de la terre en furent perdus et qu'on ne put rien semer au printemps suivant. Les rivières sortirent de leur lit et les eaux se répandirent au loin dans les campagnes. Tous les fleuves d'Europe, en particulier la Seine, l'Elbe et le Danube furent pris par les glaces pendant plus d'un mois. "Les plus grandes rivières de la Gaule et de la Germanie furent tellement glacées que, pendant l'espace de trente jours et davantage, on y passait par dessus à cheval et avec des charrettes".
Ensuite une terrible débâcle se produisit : de grands dégâts dans les métairies situées sur les bords du Rhin, inondations de la Seine ; la rivière de l'Yonne s'enfla tellement qu'en diverses localités l'eau emporta les moulins et les ponts et que les maisons riveraines furent balayées ou du moins gravement endommagées.

823 / 824
L'hiver est plus rigoureux que d'ordinaire dans les Gaules, et de longue durée. Beaucoup d'animaux et même des hommes succombent sous l'excès du froid. Une épidémie consécutive emporte une multitude des deux sexes et de tout âge
829 / 830
Hiver très rude, dans la région du Nord
830 / 831
Crue de la Seine qui coïncida avec le voyage de Louis le Débonnaire à l'Abbaye de Saint Denis.
833 / 834
Il y eut un grand débordement de la Seine qui arrêta sur ses bords Pépin.
837 / 838
L'hiver fut très pluvieux et venteux ; le tonnerre se fit entendre depuis le mois de janvier jusqu'au milieu de février ainsi qu'en mars ; l'ardeur extrême du soleil dessécha la terre
841 / 842
L'hiver ne fut ni moins intense, que ni moins durable (région du Nord). Inondation de la Seine . Auxerre et Troyes furent inondées par la crue de l'Yonne et de la Seine
842 / 843
Hiver froid et long ; cette année l'hiver fut très froid, et très long, et surtout fécond en maladies et très funeste à l'agriculture, au bétail et aux abeilles
843 / 844
L'hiver fut extrêmement doux et pluvieux jusqu'au commencement de février, il y eut quelques intervalles de beau temps
844 / 845
L'hiver fut très rigoureux (Nord, Normandie)
845 / 846

Pendant tout l'hiver et jusqu'en mai, vent du nord très nuisible aux céréales et aux vignobles.
L 'Yonne et la Seine sortent à nouveau de leurs berges ; Troyes est inondée

848 / 849
Hiver très rude. La Seine est gelée de sorte que le peuple y passe comme sur un pont vers le 06/01/849
857 / 856
L hiver est extrêmement rigoureux et très sec ; une violente épidémie emporte beaucoup de monde
859 / 860
De novembre à avril, dans les Gaules, l'hiver fut très rude et très long dura en France, en neige et en fortes gelées. Les semences en terre périrent, les vignes furent desséchées. Le vin gela dans les vases qui le contenaient. Il y a eut une grande mortalité des hommes et des animaux ; puis la famine se déclara et fut terrible l'année suivante. Les rivières furent complètement gelées (Oise). La congélation complète du Rhône prêts d' Arles et dans tout autre point de la Provence semble indiquer d'après les observations de 1776 une température de -18°C.
863 / 864
Hiver très rigoureux, le Rhône gela
865 / 866
Le 6/02/866 il y a eu une inondation de la Seine . Première crue, chute du Petit Pont. En mars, deuxième crue.
867 / 868
Les fleuves, enflés par des pluies incessantes, débordent
873
Hiver froid
874 / 875
Du commencement du mois de septembre jusqu'à la fin de mars l'hiver dans les Gaules a été très long et très rempli de gelées et de neige. La neige tomba en telle quantité que les forêts étaient devenues inaccessibles et que le peuple ne pouvait se procurer du bois. La terre demeura ensevelie pendant cinq mois et les effets de l'hiver furent désastreux. Les animaux domestiques, l'espèce chevaline surtout, succombèrent en grand nombre, et beaucoup de personnes périrent de froid. La famine et l'épidémie qui succédèrent à ces frimas enlevèrent presque le tiers de la population. Le Rhin et la Meuse restèrent gelés pendant longtemps et praticables aux piétons. En février, plusieurs chutes de neige dont la hauteur atteignit 15 pieds dans le Morvan et sur les hautes collines de la Bourgogne, produisirent au dégel une inondation violente et dangereuse. Ponts et moulins furent détruits, avec morts d'hommes.
880 / 881
Hiver froid et prolongé. La terre, resserrée au printemps par une très forte gelée, ne se couvrit pas de pâturages, et le froid et la famine de cette année vinrent mettre le comble aux maux déjà produits par la stérilité de l'année précédente. Le Rhin et la Meuse furent, pendant longtemps, traversés sur la glace.
885 / 886
La Loire déborda le 6/02/886, et en mars, au moment où les Normands assiégeaient Paris, la Seine déborda et cette crue vint en aide aux défenseurs de la cité
886 / 887
Hiver prolongé, d'une durée insolite. Il fut accompagné d'une épidémie si violente sur les bœufs et les moutons qu'il ne resta plus guère d'animaux de cette espèce
888 / 889
Inondation de la Seine
890 / 891
Hiver rigoureux. Les vignes ont gelé (Oise). Les troupeaux périrent dans les étables faute de nourriture. La Meuse est prise
892 / 893
Le Rhône gèle. Le froid fut si vif que les bestiaux ont péri dans les étables (Oise). Il fut si rude et si long qu'on put y voir en certains endroits un pied de neige durant cinq jours au mois de mars
895 / 896
Inondation du Rhin
912 / 913
Hiver très rigoureux
922 / 923
Hiver très rigoureux
927 / 928
Hiver rigoureux dans le nord de la France (plus de l0 000 morts)
933 / 934
Du 30/11/933 jusqu'en mars il y a eu un hiver rude. La Meuse fut gelée. "En chel an meisme fut grand yvert que Muese fut toute serée de Saint Andrier jusqu'en marche"
939 / 940
Hiver extrêmement rigoureux. Les récoltes manquèrent, il y eut épidémie et famine. Une grande mortalité sur l'espèce bovine.
95l / 952
Hiver rigoureux du début du mois de novembre jusqu'en février
963 / 964
L'hiver fut très long et très rude jusqu'au commencement de février
974 / 975
Hiver rude, long et sec. Une forte gelée dura du début du mois de novembre jusqu'au 22 mars. Neige en mai.Les grands froids sont suivis de la famine, d'épidémies qui enlevèrent un tiers de la population en France
979 / 980
L'hiver 980 a eut des effets désastreux, les céréales ont été gelées ce qui causa des famines
980 / 981
Lors de l'hiver 981, il est tombé une grande quantité de neige qui recouvrit l'Europe entière.
987 / 988
Hiver rude. Les semailles d'automne avortèrent par suite du froid combiné à la sécheresse du printemps, une grande famine s'ensuivit
990 / 991
Hiver rude et long. Les vignes souffrirent beaucoup de la rigueur du froid. Les troupeaux périrent dans les étables, faute de nourriture. Le blé fut gelé. Il y eut famine. Lille fut gelée. La disette et la peste s'ensuivirent
991 / 992
Hiver très rigoureux
992 / 993
Depuis la St Jean jusqu'au 9/11/993, c'est-à-dire presque tout l'été et l'automne il fit une sécheresse et une chaleur excessives. Beaucoup de fruits ne vinrent point à maturité et furent presque brûlés par l'ardeur du soleil. Il s'ensuivit une épidémie et une grande mortalité sur les hommes et les animaux domestiques
994 / 995
Du 15/11/994 au 15/05/995 il y a eu un Grand hiver. Même en juillet il y a eu quelques gelées